Le 50 mm. Pas le 35 mm, c'est trop grand, trop large. Il y a une déformation même si tout est net. Au 50 mm, on conserve une certaine distance. Je sais, on va encore me dire que je suis un classique. Je m'en fiche. On peut tout faire avec le 50 : des rues, des paysages, des portraits. Quand on a un oeil de peintre et une grammaire visuelle, on travaille au 50 mm. Peinture, dessin, photo : pour moi c'est un tout.  Henri Cartier Bresson

Vu la passion que j’ai pour l’objectif de 50 mm, il ne me manque rien. Le 50, c’est l’objectif de la redoutable intelligence et de l’acuité visuelle. C’est une jolie métaphore que de s’apercevoir qu’un objet technique peut t’apporter l’âme que tu recherches, et en même temps c’est un choix très rigoureux. Bernard Plossu

Mon matériel photo se résume à peu de choses : Un APS-C, le Nikon D500. Un objectif fixe 35 mm, un trépied, un flasmètre de la marque Sekonic et un flash cobra. Avec ce matériel j'utilise le logiciel libre Darktable pour le développement de mes fichiers RAW et le logiciel libre Gimp pour des retouches éventuelles.

Mes photographies sont recadrées au format carré de 18 cm pour être intégrées dans les pages de mes livres photos que je fais moi-même avec le logiciel libre de PAO Scribus. Un des maîtres actuels du format carré, Michael Kenna, développe une partie de ses photos en 8 pouces soit 20 cm au carré. Je n'en suis pas très loin dans mes livres.